Déjà plus de 10.000 signatures !
L’heure de la mobilisation en faveur des femmes souffrant d’endométriose en France est enfin venue !
AGIR CONTRE L’ENDOMÉTRIOSE a élaboré un manifeste qui sera remis à Madame la Ministre Najat Vallaud-Belkacem, qui s’est exprimée en mars dernier sur le sujet de l’endométriose et a annoncé son engagement auprès des acteurs associatifs.
Signez avec nous ce manifeste et diffusez-le largement autour de vous. Son objectif est évidemment de recueillir le maximum de signatures afin de démontrer l’urgence et la nécessité d'actions concrètes pour une meilleure prise en charge et considération des femmes souffrant d'endométriose.
Nous comptons sur vous !
Le collectif AGIR CONTRE L’ENDOMÉTRIOSE.
AGIR CONTRE L’ENDOMÉTRIOSE a élaboré un manifeste qui sera remis à Madame la Ministre Najat Vallaud-Belkacem, qui s’est exprimée en mars dernier sur le sujet de l’endométriose et a annoncé son engagement auprès des acteurs associatifs.
Signez avec nous ce manifeste et diffusez-le largement autour de vous. Son objectif est évidemment de recueillir le maximum de signatures afin de démontrer l’urgence et la nécessité d'actions concrètes pour une meilleure prise en charge et considération des femmes souffrant d'endométriose.
Nous comptons sur vous !
Le collectif AGIR CONTRE L’ENDOMÉTRIOSE.
Historique
- 23 mai 2014 : lancement du Manifeste ; 3 h plus tard : 1 000 signatures
- 24 mai : 3 000 signatures
- 26 mai : 4 000 signatures
- 27 mai : 6 000 signatures
- 31 mai : 8 000 signatures
- 5 juin : 10 000 signatures
Manifeste
Endométriose : ouvrons les yeux !
En France, comme partout dans le monde, 1 à 2 femmes sur 10 souffrent d’une maladie dont la majorité des gens ne connait pas le nom : l’endométriose.
Cette maladie gynécologique chronique, douloureuse, invalidante et dont on ne guérit pas, résulte de la présence des cellules qui tapissent la muqueuse utérine, les cellules endométriales, hors de l’utérus et sur les organes voisins : ovaires, trompes, intestin, rectum, vessie...
L’endométriose a de graves conséquences sur la santé et la qualité de vie des femmes qui en souffrent : opérations chirurgicales spécifiques et répétées, traitements médicamenteux lourds, infertilité, importantes douleurs quotidiennes, fatigue chronique, récidives très fréquentes. Les répercussions sur leur vie privée, sociale et professionnelle sont également importantes :
● elle engendre un absentéisme récurrent, souvent source de conflits,
● elle impacte le quotidien en rendant difficile les activités les plus communes,
● elle restreint la vie sociale, parfois jusqu’à l’isolement complet, l’endométriose altère également la vie de couple dans son intimité et peut transformer le désir d’enfant en un véritable combat.
Pour que l’endométriose soit mieux soignée et la santé des femmes préservée, il faut d’abord que la société change de regard sur la douleur féminine. Alors ouvrons les yeux et finissons-en avec les idées reçues :
Cette maladie gynécologique chronique, douloureuse, invalidante et dont on ne guérit pas, résulte de la présence des cellules qui tapissent la muqueuse utérine, les cellules endométriales, hors de l’utérus et sur les organes voisins : ovaires, trompes, intestin, rectum, vessie...
L’endométriose a de graves conséquences sur la santé et la qualité de vie des femmes qui en souffrent : opérations chirurgicales spécifiques et répétées, traitements médicamenteux lourds, infertilité, importantes douleurs quotidiennes, fatigue chronique, récidives très fréquentes. Les répercussions sur leur vie privée, sociale et professionnelle sont également importantes :
● elle engendre un absentéisme récurrent, souvent source de conflits,
● elle impacte le quotidien en rendant difficile les activités les plus communes,
● elle restreint la vie sociale, parfois jusqu’à l’isolement complet, l’endométriose altère également la vie de couple dans son intimité et peut transformer le désir d’enfant en un véritable combat.
Pour que l’endométriose soit mieux soignée et la santé des femmes préservée, il faut d’abord que la société change de regard sur la douleur féminine. Alors ouvrons les yeux et finissons-en avec les idées reçues :
NON ! Il n'est pas normal que les femmes qui souffrent tant physiquement et psychologiquement
soient ignorées, isolées et si peu considérées !
NON ! Il n’est pas normal de souffrir intensément pendant, avant ou après les règles.
Ce symptôme, parmi d’autres, est souvent celui de l’endométriose. Il faut alerter les femmes de tout âge,
ainsi que le corps médical, pour permettre une prise en charge adaptée et rapide !
soient ignorées, isolées et si peu considérées !
NON ! Il n’est pas normal de souffrir intensément pendant, avant ou après les règles.
Ce symptôme, parmi d’autres, est souvent celui de l’endométriose. Il faut alerter les femmes de tout âge,
ainsi que le corps médical, pour permettre une prise en charge adaptée et rapide !
- Parce que taire l’endométriose conduit les femmes à souffrir longtemps en silence avant d’aller consulter
- Parce que taire l’endométriose conduit à un retard de diagnostic de 6 à 10 ans en moyenne, augmentant d’autant la sévérité des atteintes et les risques d’infertilité
- Parce que taire l’endométriose ne permet pas à l’entourage personnel et professionnel de comprendre que la femme qui en est atteinte est vraiment malade
Aujourd’hui, les associations se mobilisent ensemble pour faire connaître cette maladie.
Signez avec nous le manifeste du COLLECTIF AGIR CONTRE L’ENDOMÉTRIOSE
pour que les choses changent !
pour que les choses changent !